Le secteur de l’immobilier a toujours constitué une proix de choix pour subvenir à la dépense publique, tant par les impôts qui le frappent à tous les stades de l’activité (acquisition, construction, mutation, exploitation, détention) que par l’assiduité des contrôles fiscaux dont il fait l’objet et des contentieux qui en résultent. Il est prudent de s’attendre à un durcissement du fait de la nécessité de financer les efforts mis en oeuvre pour faire face à la crise économique résultant des effets de la pandémie et des mesures prises pour tenter de la juguler.